Il a entrepris cette œuvre, de longue respiration, entrant dans le dessin, comme chez lui, innovant en peinture dans une matière légère, souple, répétitive mais qui ne ressasse pas. Peintre graphiste il l’est, pour le bonheur de nos yeux. C’est à mon avis ce que suggère le passage vers la sculpture ou ces volumes sur lesquels il revient, recherchant des matières, résine et plastique, pour dire son propre monde. Il faudrait ainsi parler d’un art qui désaccoutume. Un art d’un insolite ressaisi.